Traduction

dimanche 27 décembre 2009

2010


Toute l'équipe de Longboard Dossen vous souhaite à toutes et à tous une très bonne et heureuse année 2010 !

Certes moins présents ces derniers temps, nous vous réservons une série spéciale : French shapers & shapes pour ce début d'année avec entre autre : Daniel's longboards, Ferrara surfboards, Alain Minvielle surfboards...

Bien entendu des interviews...

Toujours un peu de culture surf of course

Et toujours un compte rendu des actualités qui certes en ce moment ne bougent pas des masses avouons-le.

A très bientôt, bons swells de fin d'année si vous pouvez en profiter.

et surtout : MEILLEURS VOEUX pour 2010 !

lundi 21 décembre 2009

NOEL

Cette année si vous êtes à la bourre au niveau cadeau de noël pour un surfeur, …, pas de problème nous sommes là !!!

Tu vas sur google pour avoir la tendance de cette année …

Si vous faites cela autant dire que vous n’y connaissez rien en surf, mais pour le néophyte, lui il se dit : je sens que je vais faire mouche là !! c’est google qui le dit …alors !

Ben alors au mieux vous aurez

- une figurine de bob l’éponge qui fait du surf

- un coffret cadeau genre « smartbox » apprenez le surf, la grosse mode cette année, vous en trouverez partout…en même temps vous vous en foutez puisque vous savez déjà surfer, mais bon…

- et le top…un collier surfer, car là c’est la perle, il existe un collier « surf » alors si vous ne voulez pas être un gros ringard …ben c’est pas grave, parfois c’est bon d’être ringard !

et sinon demerdez-vous

ciao et bon surf

vendredi 11 décembre 2009

Céline en indo

Chose promise chose due !!

Des nouvelles de Céline Chat qui passera sûrement noël en Indonésie sur l’île de Sumbawa (ça ne vous dit rien ??? moi non plus …je connais l’île de Noirmoutier ou l’île de Ré mais Sumbawa ??? cela doit être dans le sud Finistère !!!)

Peu de swell sur l’île alors Céline s‘attaque à un bateau échoué afin de nous réaliser une belle perf (cf photo)



Elle joue aussi les prolongations pour son exposition à Andernos les bains avec de nouvelles toiles alors si vous passez dans le coin faites une pose car des expos surf en dehors de l’été c’est assez rare.

On espère que son voyage à Sumbawa va lui inspirer une nouvelle série de toiles pour l’année 2010. Après « retroshine », « perspectives », nous, nous verrions bien « breizh Sumba » ??? non ???
Si vous avez d’autres idées n’hésitez pas à nous les communiquer ou directement à Céline sur son site « céline-chat.com »
Ciao, ciao

mardi 8 décembre 2009

pluie

Par ce temps de M---E, plutôt que de rester avachi sur votre canapé,
Allez faire un tour le 09 et 10 décembre dans le surf shop de Brest « Swell Addiction »
car vous y trouverez au détour d’une planche à voile ou d’un longboard, l’artiste surfeur Rémi Bertoche.
Et oui il sera sur Brest quelques jours et vous pourrez le voir bosser en live et discuter avec lui.
Alors si vous avez un peu de temps, faites un crochet par Swell Addiction Brest.

dimanche 6 décembre 2009

NEWS

Bientôt sur le blog des nouvelles de l’artiste-surfeuse ou surfeuse-artiste enfin bref vous la reconnaissez ??? Céline CHAT …
Prise en flagrant-délit de « TAG » !!! oui ! oui !


Ne vous inquiétez pas elle a quitté nos cotes ventés et pluvieuses pour une île pourrie d’Indonésie


Quoi ? jaloux ? de quoi ? d’un surf parfait sur île de rêve ????
ben nous nous avons l’île de Batz avec son micro climat NA !

mardi 1 décembre 2009

avent


Aujourd’hui nous sommes le 1er décembre et vous commencez votre calendrier de l’avent


Plus que 24 jours avant de recevoir par le père noël votre nouvelle board hi ! hi !

vendredi 20 novembre 2009

albums photos longboard.dossen

Nous avons de belles photos de vous et de vos rides….
Mais n’oubliez pas que nous avons aussi vos plus belles performances :)

Il y a :
Ecart facial dit la « jean claude Van Damme » suivie de « roulé boulé avec pote qui se moque »

le célèbre « saut de l’angelus »

le « tu ti prends comme une merde »

et pour finir « savonnette picarde »


a bientot et ...BANZAIII

lundi 16 novembre 2009

Green Weed





Vendredi 30 Octobre 2009 a eu lieu, à l‘initiative de l’ADSLB*, salle de l’arbre de l’abbaye de St-Jacut de la mer, une conférence-débat sur le problème “émergent” de l’algue verte. Elle était animée par le Dr. Claude Lesné, médecin, ingénieur attaché de recherche au CNRS sur les polluants atmosphériques, et actuellement au département de santé publique de l’université de Rennes I. La
conférence, devant un auditoire hétéroclite d’environ 100 personnes, s’est déroulée en deux parties.

Dans un premier temps, le Dr Lesné a fait un rappel des connaissances actuelles de la fonction respiratoire humaine et notamment de sa complexité et de sa fragilité, surtout vis-à-vis des polluants et toxiques gazeux, à fortiori lors des efforts physiques qui décuplent le volume d’échanges respiratoires (liberté totale de passage dans les bronches, bronchioles, etc… jusqu’aux alvéoles pulmonaires, centres névralgiques de l’échange O2/CO2). L’accent a donc été mis sur la surexposition des poumons des enfants en bas âge dont l’appareil respiratoire n’arrive à totale maturation qu’autour de 10 ans !...et des poumons en hyperventilation des sportifs.
La seconde partie de l’exposé a fait un rappel et un bilan des différents cas d’ « intoxication » recensés ces dernières années, à partir du cas de ce cavalier réanimé in extremis et de son cheval décédé en quelques minutes le 28 juillet dernier à St- Michel en grèves, mais aussi la mort brutale de deux « gros chiens » à Hillion (22) en 2008, celle d’un joggeur de 27 ans en 1989 au même endroit que le cheval mort, et le décès suspect récent d’un ramasseur d’algues…

Les études épidémiologiques poussées, accélérées par la survenue de ces cas mortels largement relatés par les médias ont révélé la grande toxicité de l’H2S, ou sulfure dihydrogéné, principale émanation des algues vertes en putréfaction, et dont on peut mesurer la concentration dans l’air. L’H2S est malodorant type « œuf pourri » à partir de 2 ppm, toxique ( œil, nerf olfactif et cerveau) à partir de 150 ppm, inodore et mortel en quelques minutes par asphyxie à partir de 500 ppm). Ce gaz est bien connu des services de santé publique et de multiples cas d’intoxication mortelle ont été décrits dans les fosses à lisier. Si d’autres gaz ( méthane, NO2,…) se dégagent des algues vertes en décomposition, le H2S apparaît le plus toxique et dangereux à des concentrations souvent retrouvées au voisinage des zones les plus fournies en algues décomposées (aspect blanchâtre crouteux des amas d’algues). Si ce phénomène de dépôt des ulves ou algues vertes est connu depuis des décennies, surtout en Bretagne, il semble s’être accentué nettement depuis la fin des années 80 au point d’engager des mesures de ramassage dont les coûts « municipaux » deviennent exorbitants ( 70000 tonnes en 2004, 10 euros/tonne)!

La relation entre cette prolifération et la surproduction agricole à coups d’engrais est établie par sa survenue le plus souvent au printemps et en été ( périodes des plus fortes concentrations de nitrates des eaux de rivière), associée à une augmentation du taux de nitrates moyen des rivières passant de 10 à 36 mg/l en 20 ans, parallèlement à la constatation d’une augmentation des surfaces de dépôt sur le littoral (survol aérien) et de la quantité de tonnes d’algues ramassées (source : Prolittoral). A noter que la norme Européenne en matière de nitrate est de 25 mg/l mais en France de 50 mg/l, alors que le coût de l’eau y a été multiplié par 2 voire 3 en 10 ans !

Malgré les mesures déclenchées par les pouvoirs publics pour satisfaire à ces normes, la stabilité du taux de nitrate toujours trop fort autour de 32mg/l, les coûts importants liés aux ramassages par les communes, la pollution visuelle et olfactive du littoral breton avec ses conséquences sur l’économie touristique, et surtout le danger sanitaire d’intoxication mortelle, des recours en justice ont donc été tout récemment intentés depuis 2007 par diverses associations environnementales.

Reste à savoir comment l’état va pouvoir se sortir de ce dilemme avec d’un côté sa mise en accusation d’insuffisance vis-à-vis des normes européennes et sa responsabilité engagée dans la survenue de cas mortels d’intoxication (sous-estimation du risque), et de l’autre la nécessité d’une politique agricole assainie et contrôlée à imposer à un monde agricole déjà vascillant, notamment en Bretagne où sur 6% de la surface nationale sont concentrés 50% de la production de porcs et de poulets et 25% de la production laitière !

Dans ce combat de longue haleine, les plaintes multiples et recours sont-ils la solution unique pour tenter de résoudre ce problème ou risquent-ils de polariser l’argent et l’énergie sur la seule notion de responsabilité au lieu de chercher ensemble les solutions ?

Autrement dit, si l’information est indispensable à la réflexion, l’action d’indemnisation est un droit mais l’action de protection (de la nature et de l’homme) est un devoir.

En attendant, amis surfeurs, fuyez et signalez les tas d’algues vertes putréfiées (aspect de croûte blanche des plages et des vasières et estuaires), informez autour de vous du danger majoré pour les enfants et les sportifs, et si vous avez un jardin ou..des plantes vertes, vous savez quoi faire… !

J.P.Letourneur

Ps : les algues dans l’eau ou fraîchement déposées ne présentent pas de danger !
Source : Bastamag.net
* Association de Défense du Site de Lancieux et de la Baie de Beaussais

samedi 7 novembre 2009

Rencontre...Steve Cleveland


Mail : ... Je serai dès demain au Guilvinec avec Steve pour la présentation de son film, seras-tu là ?...

Je regarde paisiblement le message que Lorene vient de m'envoyer, en me disant, certes j'ai pas mal de trucs à gérer mais je verrai pas tout le temps Lorene et qui plus est encore moins Steve Cleveland réalisateur du nom moins célèbre : "Another State of Mind"... Malgré tout, même si je prends la route alors que la projection est le soir, je ne pourrais pas rester du fait d'un boulot en cours...

Lendemain matin 7h : Rien ne vaut un bon vieux café que ma chère et tendre m'a préparé. J'émerge comme tout un chacun. Quelques goulées bien chaudes me suffisent pour arrêter l'heure de mon départ 11h, le temps de boucler un travail de création en cours.

11 h : Comme prévu le départ, je suis toujours accablé de voir que ce foutu prix de l'essence n'a toujours pas baissé (y'en a qui s'enrichissent financièrement parlant). Je décolle malgré tout décontracté en me disant que j'allais passer un bon moment.
C'est parti pour 2 bonnes heures de route avec un peu de musique dans les oreilles histoire de pas me parler tout seul au volant.

Je prends mon temps et me colle tous les camions qui prennent cette petite route qui soi-disant coupe les Monts d'Arrée, ça fait rien, je prends mon temps. Je pense à cette vague dont m'a parlé Eric... Ouais faudra que j'aille poser mon aileron dessus...
13h : j'ai pris du retard et j'envoie un message à Lorene, dans une demi heure je suis à bon port...
13h30 : je suis sur le port du Guilvinec, il fait un temps de chien. je détache mes cheveux histoire de ne pas avoir le visage dégoulinant. Rien ne vaut un bon vieux café au Gaudin... Je rentre laissant un autre message vocal. La cheminée crépite et j'y trouve un certain réconfort. Il y a juste un fille connectée sur le net et le barman qui lit son journal assis au coin du bar.
14 h j'allais sortir lorsque : coup de fil. On se retrouve non loin de la pharmacie et de la poste...
A peine le temps de retourner prendre un truc dans mon carrosse que je vois un visage souriant que j'ai plaisir à retrouver.
14h30 Retour au café, un peu de caféine pour se réchauffer. On discute de tout, on prend des nouvelles, on parle d'art, de ce qu'il a pu se passer dans l'année. On constate que y'a pas franchement de créativité pure en ce moment mais beaucoup de copie de styles...
Lorene m'invite dans un petit pied à terre qu'on leur prête non loin de là... Le temps de prendre quelques travaux histoire d'en discuter avec Lorene, je me retrouve en face D'un grand blond massif qui a plus des allures de nounours. "Je te présente Steve". Je baragouine quelques mots dans un anglais à coucher dehors, mais à priori j'ai bien géré, je suis resté courtois comme il le fallait... On parle de chose et d'autres toujours d'un peu d'art, je sors mes boulots dont l'un de mes ukuleles peint à la main. Steve est un type d'un douceur dingue, y'a pas un mot plus haut que l'autre, une humilité folle. Je montre à Lorene que le uku sonne parfaitement et je le passe à Steve qui me dit en avoir déjà joué mais que depuis qu'il s'est cassé la main c'est plus difficile. De là naît un moment que certains connaissent. La musique lie les personnes peu importe la langue, ce sont les notes qui donnent le ton. Petits délires autour d'un morceau Blues : y'a du bien-être et pleins de sourires dans cette histoire. Un petit moment vrai comme on les aime.
Je m'éclipse avec Steve dehors le temps de prendre une dose nicotinique. On parle pas de boulots mais plutôt de feeling, de rencontres, de pays et de régions diverses et variées. On tombe d'accord sur le fait que rien ne vaut un endroit sauvage même si il y fait plus froid qu'ailleurs. "Si je devais m'installer en France, c'est sure, je viens ici, c'est sauvage et les gens qui surfent ont l'air de savoir pourquoi ils vont à l'eau. On parle aussi de ces bottillons qui nous pourrissent un peu la vie quand on veut faire un joli hang five alors que l'eau n'est qu'à 8°... Bref on se marre un peu.
L'heure est à décoller pour faire la balance de la projection, je les accompagne sachant que je n'est plus qu'une heure.
Sur place, j'aide un peu Lorene à placer les cadres de l'expo, et je vais avec Steve afin de l'aider à traduire ce qu'il souhaite, toujours avec mon anglais approximatif. Je découvre ainsi “Fresh fruit for rotten vegetables”. De là Steve me parle des séquences qu'il a tourné et se rappelle surtout d'un passage sur des vagues de CJ Neslon m'expliquant que c'était certainement un de ses plus beaux souvenirs. "Les vagues n'étaient pas grosses, mais on a eu un plaisir dingue à les tourner."
17h : il est temps pour moi de partir (foutu boulot)... Je fais une grosse bise à Lorene en la remerciant pour ce délicieux moment. Je laisse une toile à Steve en lui faisant une grosse accolade en lui disant : ici il fait tellement froid qu'on se réchauffe comme on peut !"

Steve me raccompagne me parle un peu des endroits où l'on peut surfer ici . C'est évident on se reverra ici ou en Calif...Je reprends la route.

De ce que j'ai su la soirée de projection s'est bien passée, ce n'était pas plein, mais pas mal de gens avaient bougé, dans une ambiance très bon enfant...

jeudi 5 novembre 2009

Dernière minute !!! Steve Cleveland En Bretagne

Le CLC du Guilvinec accueille le vendredi 6 novembre, à 20h30, une soirée exceptionnelle autour de la glisse...





Un des réalisateurs de films de surf le plus en vogue: Steve Cleveland

viendra présenter son dernier film: "Fresh Fruits for Rotten Vegetables" accompagné de Lorene Carpentier, ainsi que du légendaire CJ Nelson et de la double championne du monde... Jenifer Smith.

Le premier film de Steve Cleveland sort en 1991, intitulé On Safari to Stay révélera Joël Tudor au grand public, il sera suivi de On Safari Again en 2003, une légende du genre était née. Les tribulations des longboarders sur les routes de Basse Californie et leurs échanges avec des shapers mythiques comme Donald Takayama et Skipp Frye feront date.

Pour revenir à son dernier film, “Another State of Mind“ qui remporte l’Aileron du meilleur montage au festival, c’est sa rencontre avec le longboarder new school CJ Nelson à Malibu en 2001 qui fut déterminante dans la genèse du projet.





Egalement : exposition des peintures de CJ Nelson et de photographies du tournage.


Une séance de dédicaces clôturera la soirée.





Steve Cleveland: “Fresh Fruits for Rotten Vegetables”, plus de styles de glisse, plus de surfeurs, une bande son extraordinaire, et toujours un rythme à couper le souffle. Il remporte cette année le prix du Public au Festival du Film de Surf de Saint Jean de Luz.


CJ Nelson: Un noserider incroyable, pourvu d’une créativité et d’une sensibilité hors pair qui ont fait de lui une légende vivante du surf. CJ a beaucoup de charisme. Sa personnalité fantasque cache tant bien que mal une grande timidité. CJ est un avant-gardiste et un modèle, il vit comme il surfe, instinctivement et théatralement.




Jen Smith : 24 ans, la jeune double championne du monde de longboard a séduit le team Cleveland par son surf bien entendu, mais aussi sa personnalité attachante et explosive. Jen benjamine des surfers dont Cleveland s’entoure, participe à l’équilibre parfait des trips qui jalonnent le tournage de ses films.



Une soirée à ne surtout pas manquer.




Sources :
[www.aupaysbigouden.com]
[www.flowfeeling.com]

mardi 3 novembre 2009

vidéo



YOU SCRATCHED MY ANCHOR ou tu scotches mon anchois ???? (de rien… pour la traduction)

Une petite vidéo de longboard qui nous vient de Californie
Allez voir le « teaser » sur le site x-treme vidéo qui est plutôt original
Vous y trouverez un jeu d’acteur de la part d’Alex Knost…comment dire « actor studio »
Au moins ils se marrent !!!

Et vous avez vu l’affiche du film, elle vous rappelle quelque chose …un été …
En plus elle fait peur !

jeudi 29 octobre 2009

fin WLT



Fin du WLT et cette année n’est pas celle des français !!!
Belle perf tout de même pour
Alexis Deniel qui manque de chance pète sa board avant les « heat »
Remy Arauzo qui perd en ¼ face à Antoine Delpero
Et Antoine qui perd de peu contre Ingleby

Victoire aux Maldives de Kai Salas devant Harley Ingleby qui lui devient le champion du monde

Pour résumer (sorry Kate) cette année les Australiens nous auront bien fait chier !!! surtout Ingleby…m’enfin on est fier de nos français quand même …

mercredi 28 octobre 2009

WLT suite

Conditions : vent quasi nul, vagues d'1m25.

Antoine Delpero s'illustre aujourd'hui avec le meilleur score du jour avec un total de 15.15/20 !!!

Des turns en haut de vagues avec des noses bien posés ont portés notre petit français vers les marche du 1/4 de final du WLT 2009.

Harley Ingelby quand à lui s'il bat Phil Rajzman dans le prochain round, sera consacré Champion du monde 2009.

Affiche du round 3 (1/4 de final) :

Heat 1 : Kai Sallas (HAW) Vs Eduardo Bagé (BRA)
Heat 2 : Ned Snow (HAW) Vs Ben Skinner (GBR)
Heat 3 : Harley Ingleby (AUS) Vs Phil Rajzman (BRA)
Heat 4 : Antoine Delpero (FRA) Vs Remi Arauzo (FRA)

Affaire à suivre...

mardi 27 octobre 2009

compet



C’est parti, le WLT est lancé au Maldives depuis hier
Vous pouvez suivre les résultats sur « Oxbowpro.com »
Vous y trouverez des videos et de superbes photos, notamment de Mister Cazenave

Premier jour et déjà des têtes qui tombent
Notre Breizhizou longboard competitor Alexis Deniel a été sorti dès le first tour
Nous serions bien allés le supporter, mais les iles Maldives c’est loin, les 7 iles (22) aurait été plus pratique pour nous :-)

Bon surf

samedi 17 octobre 2009

WLT pronostics


La fin du mois approche et la seconde épreuve du WLT à Chaaya island aux Maldives aussi.

Qui sera le champion du monde 2009 ???

Nous avons fait des calculs savants (avec les logiciels Britt et Coreff) et les résultats sont là …

Antoine Delpero sera champion du monde malgré une première étape au Japon un peu merdique …mais ;

D’après nos logiciels (fiables) :

  • si Ingleby et DeSoto chopent la grippe A (pas une grave, la petite, celle qui te cloue au lit une semaine pas plus )
  • et que Perkins et Razman chopent eux une gastro ou une tourista le jour de la compet
  • et qu’enfin Bage et Edwards se plantent au premier tour, …, alors là notre Antoine nous sort le grand jeu et « hop » il devient champion du monde…facile non ???

bon cette fois ci ce sera difficile pour Antoine mais nous le supportons à 100%

bonne chance Mr Delpero

dimanche 11 octobre 2009

Fin

Après la fabrication,…, le test crash


Et bien oui, elle flotte la « Daredevil Longboard Dossen »
Essais samedi aprém dans des vagues de 30 pieds !!!
Enfin ici 01 pieds = 01 cm …normal









La boucle est bouclée, reste plus qu’à l’user maintenant

samedi 3 octobre 2009

Fait mains

En ce mois de Septembre la « Longboard Dossen » team s’est réunie afin de construire une œuvre d’art flottante.

Oui, oui, pas moins que cela, une œuvre d’art… que dis-je! un chef œuvre glissant…un vaisseau de l’océan…

Après avoir dégoté un vieux pain de mousse dans un chantier qui n’attendait qu’une chose … se prendre un vieux coup de rabot sur la couenne, je m’exécutais et tentais après des heures de recherche sur Internet, de fabriquer un longboard de 10‘ à la main.

Je vous passe tous les détails de la fabrication et des pépins rencontrés … coupage/découpage, coups de rabot où il ne fallait pas, disproportion, épaisseur différente, résine qui coule etc etc

Enfin, après de longues et laborieuses heures de « shape » et une board à peu prés convenable…











Je fais appel au « king of crayon’s » …Ronan ; afin de me faire une déco perso un « Daredevil »



Et voilà le résultat

Un longboard de 10’, 60cm de large et épaisse comme une langue après une cuite !!! dérive bois.



En conclusion, je dirai que c’est une superbe expérience que de shaper sa board, mais qu’au final cela reste un boulot, un vrai travail qui demande du temps, de la minutie, un savoir faire. Alors si vous voulez une board « sans défauts » allez voir votre shapeur local !!!

Maintenant il ne reste plus qu’à voir si elle

flotte !!!!

samedi 26 septembre 2009

Rudy Jacques

Bonjour à toutes et à tous,

Beau week-end avec un résiduel de houle... Aussi, autant s'ouvrir d'autres horizons, ouvrir une simple fenêtre avec vue sur une fraction de seconde, un moment peut-être volé, peut-être caressé... Un moment simple, un morceau choisi tel une note venant se poser sur la partition d'une mélodie humaine et pourtant parfois si improbable, baignée sous une lumière touchante et chaleureuse... Longboard Dossen vous amène à la rencontre d'un être empli d'humilité et de talent, sous les interrogations de Morice Belza qui nous en rapporte les termes...

"Etant un surfer qui s'est laissé glisser dans ce renouveau ( malheureusement parfois appelé rétro..) qui consiste à ré-examiner le passé, expérimenter toutes sortes de véhicule (et les réactions inhérentes à ceux ci) et enfin être touche à tout artistique, Rudy pourrait aisément être catégorisé (quel cliché) comme un de ces jeunes suivant l'ère du temps et de ses modes.
A travers son travail pourtant, loin d'être le simple reflet des tendances qui attirent les médiocres, il réussit à extraire une fraction (soyons modeste) de cet élément que nous recherchont tous : la combinaison d' un idéal esthétique, d'une quête spirituelle du moment présent, et le FUN tout simplement.
Simple mais pas simpliste, serait une bonne définition de Rudy, s'émancipant de ses influences pour créer son univers. Celui de quelqu'un d' honnête vis à vis de sa vision artistique et globale du surf, faisant le tri (et le recyclage...) d'un trop plein qui envahit notre monde (pas le sérieux, mais celui créée par nos soins à travers une passion collective) pour le restituer, inspirant, créatif et, frais tout simplement. "

Morice BELZA.


Rudy Jacques est à Bidart, au Wallako surf shop, pour son exposition intitulée "S.M.A.S.H." à partir du 26 septembre jusqu'au 28 octobre, un rendez-vous à ne pas manquer.

Morice Belza : Peux tu te présenter ?


Rudy Jacques : J’ai 22 ans, je viens de l’île d’Oléron, et je fais mes études à Paris depuis 3 ans. Je surfe depuis 10 ans à peu près, et je dois faire du longboard depuis 5 ou 6 ans. Je pense qu’avec le longboard j’ai trouvé quelque chose qui correspond à mon tempérament, et c’est sur ce type de planches que j’ai pris le plus de plaisir jusqu’à présent. Et puis j’aime l’environnement qu’il y a autour, légèrement en retrait de la scène surf, et il y a une vraie volonté de se démarquer. Cela m’a poussé à voir un peu plus loin que le surf, à m’intéresser à tout ce qu’il peut y avoir autour. C’est aussi grâce à cela que je me suis mis à la photo et à la vidéo, car c’est un bon moyen de prolonger les sessions tout en étant à Paris. Une session de surf dure quelques heures, avec beaucoup de plaisir. Mais prendre des photos permet d’avoir une trace et d’inscrire une session dans le temps. Pareil pour la vidéo : une heure à filmer, mais des journées entières à revisionner et à monter.


M.B : Quel est ton parcours artistique ?

R.J : Je me suis mis véritablement à la photographie il y a 2 ans. Je n’ai jamais eu de matériel pro, et j’utilisais un bridge numérique Kodak. Je passais beaucoup de temps à essayer de traiter mes photos, leur ajouter du bruit, les passer en noir et blanc pour essayer de retrouver l’ambiance de mes influences. Puis mon père m’a prêté l’appareil argentique qu’il n’utilisait plus. Et là, je me suis vite rendu compte que je n’avais plus besoin de retraiter mes photos : elles avaient l’atmosphère que je voulais, et étaient surtout très simples, sans effets superflus. Toutes les photos que j’ai pu présenter à travers The Avthentic Hillbillies et SMASH sont des photos argentiques. Mais le plus difficile, c’est de mettre en avant sa propre touche. Je suis bien conscient que les travaux de Thomas Campbell m’ont clairement influencé, et grâce à cela j’ai eu envie de découvrir de nouvelles choses. Idem pour Barry McGee, qui est pour moi un exemple d’attitude et de simplicité. Je ne me prétends pas artiste, ni photographe, mais je travaille beaucoup pour essayer de forger mon propre style, en essayant d’utiliser mes influences pour mettre en avant ce que j’ai moi-même produit.

M.B : Comment vois-tu et décrirais-tu ton travail, et que voudrais tu que les gens en retirent ?



R.J : C’est difficile de juger ce que l’on fait. J’essaie d’utiliser des choses brutes, de la vie de tous les jours, comme c’est le cas avec le scotch et la peinture par exemple, car je trouve que ce sont des matériaux simples et j’aime le rendu qu’ils produisent. J’aimerais que les gens en retirent cette simplicité, qu’il se rappelle de mes travaux comme étant modestes mais authentiques.

M.B : Que penses tu du surf de nos jours, et qu' aimerais tu changer ? apporter de neuf ?

R.J : Je ne suis pas vraiment l’actualité shortboard, mais dès qu’il y a une compétition, j’aime regarder. Pareil pour le bodyboard. Ce que j’en pense ? Il y a du très bon, je pense notamment à Dane Reynolds qui m’impressionne sur chacune de ses vagues. Après, je pourrais dire qu’il y a trop de fric dans le shortboard, mais pffou, est ce que c’est vraiment le problème ? Chacun se fait sa propre vision du surf, et j’aime bien le fait que le longboard « classique » soit un peu à l’écart.


M.B : As-tu des travaux extra surf ?

R.J : Oui, depuis cet été, j’essaie de développer un projet parallèle appelé K.A.M.T.A.R, et qui vise à mettre en scène les camions qui ont été tagués. C’est un projet vraiment intéressant car il me permet de voir la ville autrement. Je pense qu’on ne peut pas apprécier le graffiti si l’on ne s’y intéresse pas, et je parle en connaissance de cause car je l’ai longtemps dénigré avant de lire sur le sujet et d’en parler avec Tristan Mausse (www.glasslove-artwork.blogspot.com) notamment.

M.B : Pour les spécialistes, quelles sont tes préférences pour le matériel et le support que tu utilises ?

R.J : Comme je l’ai dit, je n’ai jamais eu de matériel pro. J’utilise ce qui me tombe sous la main, avec un budget plutôt serré. Mon appareil de tous les jours est un Canon AE1-Program. J’ai également un Praktica que l’on m’a gentiment donné, mais que je n’ai pas pu encore tester. J’utilise aussi un Polaroid SuperColor 600, et j’ai toujours un appareil jetable sur moi. Je ne me suis jamais vraiment intéressé au matériel et à la technique, je ne veux pas passer des heures à chercher le réglage idéal. Ce qui m’intéresse, c’est de déclencher. Toutes mes photos aquatiques ont d’ailleurs été prises avec un jetable.

M.B : On peut constater une forte influence américaine dans tes oeuvres et dans d'autres artistes français, crois tu que cela nuise à l'épanouissement d'une personnalité propre et de ta créativité ? Penses tu l'émergence d'une scène française (avec des qualités bien spécifiques) possible ?

R.J : Je ne pense pas que cela nuise, mais c’est clair que ça peut être un frein pour développer sa propre créativité. Quand tu as vu des films des centaines de fois, difficile de ne pas en ressentir l’influence. C’est très facile de s’inspirer, et d’aller souvent même au-delà de l’inspiration. Après le problème, et d’ailleurs mon problème comme je l’ai dit, c’est de savoir utiliser ses influences pour mettre en avant sa propre créativité, sans tomber dans la copie. Il faut arriver à prendre du recul pour s’en détacher.

Concernant l’émergence d’une scène française, pourquoi pas, il y a tellement à découvrir, notamment au niveau du patrimoine. Mais le mot « scène » me parait fort. En revanche, il est certains que l’on peut se servir de la culture française, c’est un atout que l’on peut mettre en avant. Quelqu’un l’a bien compris, c’est Clovis Donizetti. Il possède une culture incroyable, sur le surf, la littérature. Et cela se ressent après dans son style de surf.

M.B : Quels sont tes projets à venir ? Et vers quoi aimerais tu diriger ton travail plus tard ?

R.J : Pour l’instant, je suis en stage à Paris jusqu’en juin 2010, ce qui fait que je rentre peu sur Oléron. Mais je me réserve l’été prochain pour faire avancer mon projet de film qui traine depuis longtemps. Jusque là, je continuerai de prendre des photos, et j’aimerai m’orienter vers quelque chose de différent, moins focalisé sur le surf. Je voudrai faire le lien entre la ville, les gens, le surf.

M.B : Des remerciements bien entendu...

R.J : S’il y a quelqu’un que je dois remercier, c’est Cyril de Tamarindo. Il m’a toujours soutenu, m’a aidé à avoir confiance en moi et m’a donné ma première chance pour montrer mon travail. Je remercie également mon pote Steven, avec qui j’ai fait la plupart de mes photos, Cloclo, ma famille et tous les habitués du Tiki. Il y a une vraie communauté qui s’est créée récemment sur Oléron, les gens partagent énormément, peu importe leur âge. Merci aussi à RVCA qui me soutient, et me laisse faire ce que je veux, à mon rythme.

M.B : Open bar, le mot de la fin, ta philosophie, un coup de gueule, ou simplement ce qui te passes par la tête.

R.J : Je ne fais pas cela pour gagner de l’argent, ni me faire une place. Je veux juste continuer à faire ce que j’aime, et rencontrer de nouvelles personnes. J’ai souvent entendu des critiques disant qu’il s’agit « d’un truc à la mode ». Mais je ne cherche rien, je ne veux rien gagner. Si ce n’est de voir des gens aimer ce que je fais et pouvoir partager.

Net links :

http://www.rudyjacques.com
http://www.avthentic.com/

Clovis Donizetti from rudy JACQUES on Vimeo.


mardi 15 septembre 2009

Championnat de Bretagne Longboard 2009

Bonjour à toutes et à tous.

Le 5 et le 6 septembre derniers se déroulaient les
championnats de Bretagne de longboard à Guidel (56).

C'est entre soleil et passages nuageux que se sont déroulés les manches.

Les séries longboard Open et Ondine (filles) ainsi que le Stand Up Paddle ont été assurées toute la journée de samedi sur le spot de la Falaise, puis du Maéva en seconde partie d'après-midi, avec la marée montante.



Gwen Cristien, local de l'étape s'impose et remporte le titre de Champion de Bretagne Longboard 2009 devant Lucien Leray des Côtes d'Armor, Stéphane James de la WSA et François Verian de la Torche, Gregory Closier quand à lui remporte le titre de Champion de Bretagne en Stand Up Paddle, suivi de Gwen Cristien (qui s'illustre une fois de plus )et de Sylvain Pladys.



En parallèle, sur le site du Skate Park, l'ambiance battait son plein, avec une vingtaine de skateurs inscrits pour les trials Contest de Skate de moins et plus de 16ans, et un public nombreux se promenant entre le stand du Club WSA, des Tickis Tahitiens, les massages polynésiens, graff, expos photos...

Il y avait de quoi prendre du bon temps, c'est certains.

Une mention spéciale quand même pour le Tamure (prononcer tamouré en français) des danseuses Tahïtiennes de Breizh Polynésia, très charmantes avouons-le !



Pour toutes les infos : http://w.s.a.free.fr/

lundi 31 août 2009

Energie sous-marine

Bonjour à toutes et à tous,

En ce beau lundi qui termine le mois d'Août, le swell baisse pour mieux revenir avec un peu de vent tout du moins pour la côte Bretagne.

Soucieux de notre environnement, les questions d'écologie nous font parfois bondir. Et parfois nous amène à la réflexion que nous ne connaissons pas l'étendu du pouvoir maritime. Certains s'insurgent plaidant le fait que l'on a assez "pollué" la terre avec des structures et que tant qu'à tout saccager autant le faire aussi dans l'eau !... Loin de cette polémique qui peut se régler avec sagesse, c'est le projet qui nous intéresse.

Alors comment ça marche...


Les hydroliennes exploitent l’énergie des courant de marées. Une source d’énergie particulièrement intéressante car elle est régulière et inépuisable. Comme l’éolien utilise l’énergie cinétique de l’air, l’hydrolien utilise l’énergie cinétique de l’eau.

La production d’électricité est prévisible, puisque les marées peuvent être calculées à l’avance.

Les courants marins constituent une ressource énergétique intéressante car la densité de l’eau est importante, 1 000 fois supérieure à celle de l’air.













Sur un système hydrolien, la rotation des pales est limitée par la vitesse de cavitation en bout de pale, elle doit est inférieure à 10 m/s. Ainsi les pales des grandes hydroliennes ne tourneront qu’au rythme de 15 tours par minute et leurs effets se limiteraient aux turbulences à la sortie de l’hydrolienne.

Avantages

La production est prévisible.
L'espace d'implantation est réduit.
La création de zone de turbulence empêche le dépôt de sédiment et l'envasement.

Inconvénients

Qui dit installation maritime dit difficulté d'accès.
Qui dit turbulence dit empêchement du développement de la flore.
















Il faut aussi considérer que les sites préférentiels pour l’installation d’hydroliennes sont des sites de courants forts à très forts, où les conditions sont peu favorables au développement de la faune et de la flore.

Les cartes marines montrent que ces zones sont exclusivement composées de roches ou de gravières de gros calibre. L’impact environnemental de l’énergie hydrolienne est actuellement étudié dans de nombreux projets de recherche et développement en Europe dans la Manche, la mer du Nord et la mer Baltique.

La première hydrolienne du monde est en activité dans la baie de Fundy, au Canada. Elle produit assez d’électricité pour 100 à 150 foyers, grâce aux courants marins engendrés par les marées.

Alors que la France dispose d'un potentiel de production énorme, elle accuse un certain retard. Labellisé par le nouveau pôle de compétitivité "Mer" de la région Bretagne, le projet Marénergie prévoyait pour 2008 trois parcs d'éoliennes situés au large du Cotentin.


C'est une petite société quimpéroise, Hydrohelix, qui a est à l'origine de ce projet. Implantées à 30 m de profondeur, les hydroliennes transformeraient l'énergie des courants en électricité qui serait acheminée, via des câbles, sur le continent et connectée au réseau national. Il suffit aux turbines de courants de 2 à 2,5

mètres/seconde pour fonctionner (dans cette zone la vitesse moyenne est de 6 à 10 mètres par seconde), mais elles ne fonctionnent que 40% du temps.



Créée en 2000 à Quimper, Hydrohélix projette de construire des hélices activées par la marée d’une puissance de 1,2 mégawatt chacune, l’équivalent d’une grosse éolienne.



C'est en Avril 2008 Que le projet Sabella D 03 est mis à l'eau à Benodet.




Les côtes ne sont pas le seul endroit propice à l'implantation d'hydroliennes. A New York, le fournisseur d'électricité Verdant Power envisage de construire une petite ferme de turbines dans l'East River (à New York). Les machins seront fixées dans le sol à 9 mètres de profondeur et seront équipées d'un rotor pivotant capable de s'orienter face au courant en fonction de la marée. Trey Taylor, le président de Verdant Power, espère construire 200 à 300 petites hydroliennes le long du fleuve. D'autres projets sont en cours en Norvège, Espagne, Portugal, Floride et Brésil. L'énergie houlière pourrait aussi alimenter des îles, par exemple.

Il reste quand même quelques problèmes à surmonter : le danger potentiel pour les bateaux, les difficultés d'entretien, et la résistance dans le temps (salinité, sable…). Et surtout, il reste à savoir si cette nouvelle source d'énergie sera compétitive, avec un coût d'installation de 1,5 euro par Watt et un coût de production de 6 centimes d'euros le kWh, plus de deux fois le coût du kWh nucléaire.

Il n'en est pas moins que l'idée reste bonne et certains ont même osé penser à la puissance de la houle :



La question reste en suspend : L'écologie et l'énergie certes mais à quel prix ?


Sources : l'internaute , écosources, Hydrohelix, France 3 Ouest, France 2.